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Redha MALEK :
Né a Batna le 21 décembre 1931, Redha Malek est Licencié es lettres (philosophie), après des études supérieures à Alger et Paris.

Membre fondateur de l’Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens en 1955, il devient directeur d’El Moudjahid, organe central du FLN, de 1957 à 1962. il est porte parole et membre de la délégation algérienne aux négociations d’Evian et l’un des rédacteurs du Programme de Tripoli (1962).

Après l’indépendance, il est successivement Ambassadeur en Yougoslavie (1963), en France (1965) et en URSS (1970). En 1976, il participe à la rédaction de la Charte nationale. Nommé ministre de l’Information et de la Culture en 1977, il est de nouveau Ambassadeur aux Etats-Unis en 1979, puis en Grande-Bretagne (1982). Il est l’un des principaux négociateurs qui ont obtenu la libération des cinquante-deux otages de l’Ambassade américaine à Téhéran, en 1980-1981. Harold Weill Medal, New York University of  Law.
Retiré de la vie publique en 1984, il reprend du service avec l’arrivée du Président Mohamed Boudiaf. Envoyé spécial aux Etats-Unis en février 1992, Président du Conseil Consultatif National en avril de la même année, il devient membre du Haut Comité d’Etat (HCE), Ministre des Affaires Etrangères puis Chef du Gouvernement jusqu’en avril 1994, Président de l’Alliance Nationale Républicaine (ANR) de 1995 à 2009.

Redha Malek est l’auteur de plusieurs ouvrages parmi lesquels :
« Tradition et Révolution » et « L’Algérie à Evian ».Le titre de son dernier ouvrage qui vient juste de paraître est « Guerre de Libération et Révolution démocratique ».

Redha MALEK :

 

Georges Corm

Georges Corm est Libanais, né en 1940 à Alexandrie en Egypte. Il est diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, section économique et financière (1961) et licencié en droit privé (1962), détenteur d’un Diplôme d’Etudes Supérieures en droit public (DES, 1966) et d’un doctorat d’Etat en droit constitutionnel (1969) de la Faculté de droit et des sciences économiques de Paris.. Sa thèse de doctorat « Contribution à l’étude des sociétés multiconfessionnelles » a reçu les félicitations du Jury ; elle a été traduite et publiée en arabe et en serbo-croate par le Centre de la recherche scientifique de Sarajevo. Il a mené de front des activités professionnelles dans les domaines économiques, financiers et du développement, ainsi que des activités académiques, telles que l’enseignement universitaire aux trois plus grandes universités du Liban (Université Saint Joseph (USJ), Université américaine (AUB) et Université libanaise.

Ses activités professionnelles entre 1963 et 1985 lui ont permis d’acquérir une expérience du secteur public et du secteur privé dans la fonction publique puis dans le secteur bancaire. Entre 1985 et 1998, installé à Paris, il a pratiqué la consultation pour des organismes internationaux, tels que la Banque mondiale et l’Union Européenne, le PNUD, l’ESCWA (Commission économique des Nations-Unies pour l’Asie de l’Ouest), la FAO ce qui l’a amené à développer ses connaissances de nombreux pays (Albanie, Algérie, Jordanie, Turquie, Maroc, Tunisie, Tanzanie, Iran, Yémen, Bahrain, Oman et Jordanie) ou de nombreux problèmes relatifs aux questions de développement. Il a aussi pratiqué la consultation pour le secteur privé ou des grandes banques et organismes nationaux (européens ou arabes).
Il a été ministre des finances de la République libanaise entre le début du mois de décembre 1998 et la fin du mois d’octobre 2000. Il est membre de nombreux conseils scientifiques et associations, dont entre autres : Secrétaire général et membre du Comité de direction de l’Organisation arabe de lutte contre la corruption Senior Research Fellow et membre du Comité consultatif de l’Economic Research Forum for the Arab World, Turkey and Iran (Le Caire) .

Membre du Conseil Scientifique du Centre de Recherches de l'Orient Contemporain, CERMOC (Beyrouth, Amman) et de la Revue Maghreb Machrek (jusqu’en 1996) .

Ouvrages
L'Europe et le mythe de l'Occident, La Découverte, 2009
Histoire du Moyen-Orient. De l'Antiquité à nos jours, La Découverte, 2007
La Question religieuse XXIe siècle. Géopolitique et crise de la post-modernité, La Découverte, 2006
Le Proche-Orient éclaté (1956–2007), Gallimard/Histoire
Orient-Occident, la fracture imaginaire, La Découverte, 2002 et 2004
L'Europe et l'Orient : de la balkanisation à la libanisation. Histoire d'une modernité inaccomplie,
La Découverte, 1998,2001 et 2003
Le Liban contemporain. Histoire et société La Découverte, 2003 et 2005
Histoire du pluralisme religieux dans le bassin méditerranéen, Geuthner, 1998
Georges Corm
 
Abeer  Esber : Scénariste et romancière.
Née le 01/12/1972. Elle travaille pour la télévision et le cinéma en tant qu’assistante de réalisation (Les Portes du soleil de Y. Nasrallah, 2003), scénariste et réalisatrice (Tiktik, court-métrage, 2003 et Fih chi, long-métrage, 2010).
Critique littéraire et cinématographique.
Lauréate 2004 du prix Hana Mina pour son roman Loulou.
Prix de la Nouvelle écriture pour le roman Manazil al-riyab [maisons d’absence], Damas capitale arabe de la Culture, 2008.Aperçu bibliographique :
Qassqiss waraq [coupe-coupe papier], dar ar-rayes, 2009.
Kas Wiski [verre de whiskey], à paraître.
 
Azouz Begag :
Azouz Begag :
D'origine algérienne, Azouz Begag est né en France dans la banlieue lyonnaise en 1957. Il possède un Doctorat en économie de l'université Lyon 2 et mène de front trois carrières: romancier, sociologue et homme politique.

Chercheur au CNRS et à la Maison des Sciences Sociales et Humaines de Lyon depuis 1980, il est spécialiste en socio-économie urbaine: son travail porte largement sur la mobilité des populations immigrées dans les espaces urbains.

Azouz Begag a publié une vingtaine de livres dont la plupart ont pour sujet les différents problèmes auxquels sont confrontés les jeunes d'origine maghrébine, pris entre deux cultures aussi bien qu'entre tradition et modernisme: pauvreté, racisme, chômage, auto-destruction, désespoir.
 
Leda Guidi :
Elle est  responsable des “Services de Communication aux citoyens” de la Municipalité de Bologne.

Elle est également  journaliste, auteur d’articles et publications sur les réseaux citoyens, la participation électronique, la communication et le développement du territoire à travers les TIC.

Bibliographie de Leda Guidi
La Démocratie et la société de l’information en Europe, Edition Apogée, Commission Européene, 1999.


 
MAURIZIO FANTONI MINNELLA : MAURIZIO FANTONI MINNELLA
Maurizio Fantoni Minnella  (né en1959 à Varese .Italie,) est  écrivain, voyageur, essayiste cinematographique, journaliste, documentariste,  et specialiste de littérature en langue espagnole. Il a publié cinq oeuvres en prose dont: Rappresentazioni di fantasmi (1980), , Il tempo di Rachid. Storie di immigrati (, 2000).

Comme  essayiste cinematographique il a publié L’autore e il mito. (Edizioni Falsopiano, 1997), La Legge del desiderio. Cinema erotico ed erotismo nel cinema  Il mito del vampiro nel cinema (GS Edizioni, 2000), Il Cinema di Pedro Almodovar ( 2003 edizione ampliata).

Il a collaboré aux quotidiens La Prealpina, la Stampa, la Provincia, Rinascita della Sinistra, Liberazione, l’Avvenire, La Stampa.
 
Amara Lakhous :
Consacré découverte littéraire de l’année en Italie, Amara Lakhous, 36 ans, est un écrivain algérien qui rejette la théorie du choc des civilisations, lui préférant le « malentendu constructif ».
‘Choc des civilisations pour un ascenseur à Piazza Vittorio’. Un titre pour le moins sibyllin pour ce livre qui figure au classement des best-sellers 2006 dans la péninsule italienne.

Son  ouvrage a été édité en langue arabe chez Ikhtilef et en langue française aux Editions Barzakh.
 
Abdesselam Cheddadi :
Abdesselam Cheddadi est l’un des rares chercheurs maghrébins à avoir consacré leur vie à l’étude, à la critique et à la traduction de la pensée d’Ibn Khaldûn. Sa traduction de la Muqa’dima (Prolégomènes), parue dans la célèbre collection La Pléiade, que publie la prestigieuse maison d’édition parisienne Gallimard, est considérée comme un travail exceptionnel en la matière.

Il a créé l’événement l’année dernière en publiant une édition critique en langue arabe, la première du genre dans le monde arabe, éditée par la maison d’édition qu’il a fondée pour ses ouvrages sur Ibn Khaldûn. Son édition s’appuie sur une quarantaine de manuscrits, produits par Ibn Khaldûn lui-même ou par ses transcripteurs. Cette édition scientifique contient aussi la première version, ainsi que toutes les modifications apportées par Ibn Khaldûn durant vingt-cinq ans.

Mais cet immense travail auquel s’est attelé Abdesselam Cheddadi est passé, malheureusement, sous silence ; ce qui est indigne d’un monument de la pensée historique arabe. Le chercheur a publié plusieurs ouvrages intéressants, dont Ibn Khaldûn, de nouveau, paru aux éditions Tobeqal, une traduction en français du Livre des Exemples, parue chez Gallimard, une édition critique de la Muqa’dima, édité par La Maison des arts, des sciences et des lettres, fondée par l’auteur pour publier l’œuvre et la pensée d’Ibn Khaldûn, Actualité d’Ibn Khaldûn, chez le même éditeur, et enfin Ibn Khaldûn, l’homme et le théoricien de la civilisation, édité par Gallimard.

Abdesselam Cheddadi a également traduit de l’anglais au français le livre référence de Dimitri Gutas, Pensée grecque, culture arabe : le mouvement de traduction gréco-arabe à Bagdad et la société abbasside primitive.
 
June Dahy :
Danemark
Directrice du Département Langue Arabe à l’Université de CopenhagueChercheur  au Centre de Recherche sur le Moyen OrientTraductrice de l’arabe vers le danois de l’œuvre de Mahmoud DarwichActuellement traduit vers le danois des romanciers algériens de langue arabe
Dahy June
 
Ahmed Djebbar :
Ahmed Djebbar est un mathématicien et un historien des Sciences d'origine algérienne, il est spécialisé dans les mathématiques de l'occident musulman (Espagne musulmane et Maghreb).

Il est l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages dont les plus célèbres sont: "une histoire des sciences arabes", "l'algèbre arabe, genèse d'un art" et "l'âge d'or des sciences arabes".Il a notamment été commissaire scientifique de l'exposition "L'age d'or des sciences arabes" à l'institut du monde arabe à Paris en 2005


Ahmed Djebbar :
 
Justine Mintsa :
Gabon
Maître-assistante à l'université de LibrevilleJustine Mintsa est née à Oyem dans le nord du Gabon. Après des études secondaires au Lycée Molière de Paris, puis  au Lycée Léon Mba, Libreville, elle poursuit ses études universitaires d’abord au Gabon, puis en Angleterre et en France. Docteur ès Lettres, elle enseigne la littérature anglaise à l’Université Omar Bongo. Elle a été Directrice  générale de la Culture et des Arts au Ministère de la Culture et membre du Haut Conseil de la Francophonie. Elle est Présidente Honoraire de l’Union des Ecrivains Gabonais.
Mintsa
 
François NKEME :
Il est camerounais ,  éditeur de formation.
Après avoir travaillé aux Presses universitaires de Yaoundé, il crée sa maison d'édition, Proximité, qui deviendra le passage obligé des jeunes auteurs de son pays. En 2007, Proximité s'unira à Interlignes et aux éditions de la Ronde pour créer Ifrikiya qui publie en moyenne quinze livres par an.


Comme  auteur, il a publié :Innocence perdue, morceaux choisis de mon enfance, en 2003, aux éditions Proximité,
Le cimetière des bacheliers,roman, Proximité, 2005
Buyam sellam, roman, Etre et connaître, 2008.
François NKEME :
 
Mohamed MESBAHI :
Mohamed Mesbahi est né en 1945 à Ksar El Kébir (Algérie). Après des études en Lettres et Sciences Humaines à Rabat il obtient un Diplôme de Licencié en Philosophie puis un Doctorat d’Etat  en cette même Université. Il  a été durant de nombreuses années Responsable de l’UFR : Espaces de la dans la Civilisation Arabo-islamique.
Il est membre entre autres du Bureau National de l’Association marocaine de Philosophie ainsi que de la Société Internationale pour l’Etude de la Philosophie Médiévale.
Il participe comme membre du comité de  rédaction à plusieurs revues d’Histoire et de Philosophie marocaines, algériennes et espagnoles, notamment  Madarat Falsafia (Rabat), Al-hiwar al-fikrii (Constantine) Anaquel d’estudios arabes (Madrid).

OUVRAGES
Problématique de l’intellect chez Ibn Rushd
Significations et apories
L’autre aspect d’Averroès
Mohamed MESBAHI :
 
Azmi Bishara
Il est né en 1956 à Nazareth en Galilée.Azmi Bishara appartient à la minorité arabe d'Israël qui n'a pas pu être expulsé lors de la Nakba. Il fut Professeur de philosophie à l'université Bir Zeit de Ramallah. Traqué par les Services secrets israéliens, il dut s’exiler au Qatar qui lui accorda la nationalité.
Avec 'Check point', le très engagé Azmi Bishara nous livre un roman inspiré de l'occupation de la Palestine. En compagnie de sa fille, le narrateur entreprend un voyage dans ce pays occupé,
La conciliation du nationalisme, de la démocratie et de la justice sociale, est au cœur de la pensée d’A.Bishara. Pensée pratique s’il en est, elle est inséparable d’une action politique qui œuvre à donner consistance à la notion de citoyenneté, indépendamment des appartenances ethniques ou religieuses.
Il a participé à la création de nombreux Centres culturels destinés à conserver et développer l’identité arabe menacée par la colonisation et l »apartheid » de l’Etat sioniste.

Aperçu bibliographique

La Société civile. Beyrouth 1999
La minorité arabe en Israël vue de l’intérieur. Beyrouth 1999
L’Intifada et la société israélienne .Beyrouth 2002Etre Arabe de nos jours Amour en zone d’ombre .Beyrouth 2009

Azmi Bishara
 
Denise Brahimi :
Essayiste et critique

Denise Brahimi, est enseignante à l'Université Paris VII où elle enseigne la littérature comparée et notamment les littératures francophones. Elle a consacré de nombreux ouvrages à l'étude des relations interculturelles et interethniques.

Après 1962, Denise Brahimi a vécu dix ans en Algérie. Plusieurs de ses ouvrages portent sue les récits des voyageurs européens au Maghreb et en Orient .

Parmi ses publications:


Langue et littératures francophones (Ellipse, 2001)
Cinémas d'Afrique francophone et du Maghreb (Nathan, 1999)
Les femmes africaines dans la littérature (Karthala, 1998), écrit avec Anne Trevarthen.
Opinions et regards des Européens sur le Maghreb aux XVIIe et XVIIIe siècles
(Société nationale d'édition et de diffusion, 1978)
Denise Brahimi :
 
Eugène Ebodé :
(Cameroun).
Poète, Ecrivain
Chroniqueur «  Courrier de Genève »Né à Douala, au Cameroun, en 1962.
Diplômé de l'IEP d'Aix-en-Provence et du Celsa., il a été directeur de cabinet du maire de Villepreux.Il a publié plusieurs romans et collabore actuellement au Courrier de Genève.

Eugène Ebodé :
 
Fadéla M’RABET
Femme de lettres algériennes , Fadéla M’Rabet a effectué des études supérieures de Science à Strasbourg. Docteur en Biologie, elle a été Maitre de Conférences et praticienne des Hôpitaux à Broussais –Hôtel Dieu (Paris). Elle a publié deux livres retentissants «  La femme algérienne » ( Maspero 1965) et les Algériennes ( Maspero 1967) alors qu’elle animait des émissions à la Chaine III de la Radio Algérienne dont le magazine de la Jeunesse avec son mari Maurice Tarik Mashino et ce de 1963 à 1967.

Elle a également publié « L’Algérie des illusions »(Laffont.1972) en collaboration avec son mari, ainsi que «  Une enfance singulière … en Algérie » Balland. 2003) et « Une femme d’ici et d’ailleurs ».
 
 
Mohamed MESBAHI
Mohamed Mesbahi est né en 1945 à Ksar El Kébir (Algérie). Après des études en Lettres et Sciences Humaines à Rabat il obtient un Diplôme de Licencié en Philosophie puis un Doctorat d’Etat  en cette même Université. Il  a été durant de nombreuses années Responsable de l’UFR : Espaces de la dans la Civilisation Arabo-islamique.
Il est membre entre autres du Bureau National de l’Association marocaine de Philosophie ainsi que de la Société Internationale pour l’Etude de la Philosophie Médiévale.
Il participe comme membre du comité de  rédaction à plusieurs revues d’Histoire et de Philosophie marocaines, algériennes et espagnoles, notamment  Madarat Falsafia (Rabat), Al-hiwar al-fikrii (Constantine) Anaquel d’estudios arabes (Madrid).

OUVRAGES
- Problématique de l’intellect chez Ibn Rushd
- Significations et apories
- L’autre aspect d’Averroès

 
 
Boniface Mongo-Mboussa :
(Congo -Brazzaville)
Ecrivain, essayiste
Responsable littéraire à Africultures
Il est professeur de littérature francophone à la Columbia University de Paris.Il est l’auteur de Désir d’Afrique (Gallimard, 2002), un livre qui est à la fois une initiation à la littérature africaine et une clé pour la comprendre. Il prolonge son propos dans L’indocilité, supplément au Désir d’Afrique (Gallimard, 2005), nous invitant à dépoussiérer notre vision du continent africain, en la considérant sous l’angle de l’insolence et de l’irrévérence.
Boniface Mongo-Mboussa :
 
Akli Tadjer :
En 1985, après un voyage en Algérie, Akli Tadjer écrit son premier roman, publié tout de suite et adapté à la télévision française. C'est de cette manière qu'il devient scénariste, métier qu'il exercera pendant des années avant de sortir un nouveau roman. Aujourd’hui, il est l’auteur de six romans. La plume d'Akli Tadjer ne cesse de séduire le public et la critique qui saluent unanimement chacune des nouveautés de l'écrivain.
Akli Tadjer
 
Abdelkader DJEMAI :
Né le 16 novembre 1948 à Oran. Auteur de nouvelles, de pièces de théâtre et de romans.
Journaliste, il a collaboré à «La République», «Algérie-Presse-Service», «El Moudjahid», «Algérie Actualité», «Le Matin», «Ruptures», «Le Monde Diplomatique», «Les Temps Modernes», «Machrek-Maghreb», «Qantara », «France Culture»...
Abdelkader Djemaï vit en France depuis 1993. Il participe à des animations et ateliers dans les établissements scolaires de Mâcon (dans le cadre du « Temps des Livres »), de Limoges, de Nancy, de Paris..., et à l'étranger. Il collabore également auprès du Centre National du Livre pour les ateliers d'écriture « L'Ami littéraire ».

Romans
Saison de pierres, ENAL, 1986.
Mémoires de nègre, ENAL, 1991.
Un été de cendres, Michalon, 1995 - Prix Découverte Albert Camus et prix Tropiques.
Sable rouge, Michalon, 1996.
31, rue de l'Aigle, roman, Michalon, 1998 et 2000.
Camping, Le Seuil, 2002, Points Poche, 2006.
Gare du Nord, Le Seuil, 2003, Poche, 2006.
Le Nez sur la vitre, Le Seuil, 2004.
La maison qui passait par là, Ed. La Dragonne, 2006Nouvelles
Dites-leur de me laisser passer et autres nouvelles (2000),
Nombreuses nouvelles publiées dans la presse et des revues algériennes et internationales (Les Temps Modernes, Lettre Internationale, Time Out, l’Express).
Participation à des recueils collectifs :
Un strident silence dans l'anthologie « Littérature et football » par Patrice Delbourg et Benoît Hemermann, nouvelle, 1998.
La complainte du gardien volant dans le recueil de nouvelles Olà.
Onze écrivains au stade, coédition Serpent à Plumes et Monde-éditions, 1998.
Dernières Nouvelles de la Terre (Editions Kruch).
Quelques songes de Prométhée (Editions du Rocher, 2001).

Autres écrits
Camus à Oran, récit, Michalon, 1995.
La question R.D : Histoire d'une affaire, monologue en deux parties.
L'année des chiens, Sadek Aïssat, Abdelkader Djemaï.Anne Carrière, 1996.
Histoire d'un amour, 1997.

prix et distinctions
- Prix Découverte Albert Camus et prix Tropiques pour Un été de cendres (1995).
- Prix Amerigo Vespucci pour Camping (2002).- Lauréat du Prix littéraire de la Ville d'Ambronay 2005 pour son roman Le nez sur la vitre.

Abdelkader DJEMAI :
 
Cheikh Hamidou Kane :
Sénégal
Né à Matam le 2 avril 1928, est un écrivain et un haut fonctionnaire sénégalais, qui occupa notamment des fonctions ministérielles. Son livre L'Aventure ambiguë est devenu un classique de la littérature africaine.

Cheikh Hamidou Kane :
 
Jacques Vergès :
Jacques Vergès est né le 5 mars 1925 à Ubon Ratchatani (Thaïlande), fils de Raymond Vergès, médecin réunionnais nommé consul de France en Thaïlande, et d'une institutrice vietnamienne. Il passe son enfance à la Réunion, fréquentant très tôt les milieux politiques de l'île. Bac en poche, il quitte la Réunion à 17 ans pour s'engager dans les Forces Françaises Libres. Il effectue entre 1950 et 1954 un séjour à Prague où il occupera des responsabilités au sein de l'Union internationale des étudiants. De retour en France, il reprend ses études de Droit, obtient son Certificat d'Aptitude à la Profession d'Avocat et s'inscrit au Palais de justice de Paris. Militant anticolonialiste, il défend les membres du FLN algérien, dont Djamila Bouhired. Elle est capturée et torturée par l'armée française avant d'être condamnée à mort. Jacques Vergès alerte l'opinion publique et obtient la grâce de la jeune révolutionnaire qu'il érige en emblème des luttes pour l'indépendance algérienne. En 1957, il quitte la France et devient Chef de Cabinet du Ministre des Affaires Etrangères après la proclamation de l'indépendance de l'Algérie en 1962. Il fonde alors, à Alger, la revue Révolution africaine.Depuis, au carrefour du politique et du judiciaire, il a associé son nom à de nombreux procès fortement médiatisés.

Jacques Vergès est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont notamment Beauté du crime (1988), La Justice est un jeu (1992), Intelligence avec l'ennemi (1996), Le Salaud lumineux (1996), Les Sanguinaires(2001), Omar m'a tuer (2001), Avocat du diable, Avocat de Dieu (2001), Dictionnaire amoureux de la justice (2002), La Démocratie à visage obscène (2004), Les Crimes d'État (2004), Malheur aux pauvres (2006) et Que mes guerres étaient belles ! (2007). Journal : la passion de défendre, Editions du Rocher, 2008, ainsi qu’un monologue intitulé « Serial Plaideur »
Jacques Vergès :
 
Waciny Ahmed Laredj : 

Né le 8 août 1954 à Tlemcen (Algérie)
Descendant d’une famille morisque (Andalousie), arrivée en Algérie au XVIIe siècle, fuyant la terreur de l’Inquisition.
D’un père émigré, Ahmed Laredj, qui, toute sa vie, a travaillé comme ouvrier dans les chemins de fer, en France, avant de rejoindre l’ALN. Il mourut en martyr en 1959, sous la torture.
A obtenu sa licence en lettres et langues, de l’université d’Oran (Algérie)
Doctorat d’Etat, de l’université de Damas, sous le thème : « La théorie du héros dans le roman arabe. »
Professeur de chaire à l’université d’Alger-centre (depuis 1985),
Professeur visiteur à la Sorbonne, Paris depuis 1994.
Professeur résidant à l’université de Californie, à Los Angeles (UCL), 1999-2000.
A dirigé l’Union des écrivains algériens de 1990 à 1994, comme vice-président et comme fondateur et responsable de la revue de l’Union, Al Musa’ala, avant de déposer sa démission irrévocable, pour protester contre le silence de l’Union sur les crimes des islamistes ;
Membre fondateur de l’association culturelle Al Djahidhia ;
A dirigé la collection littéraire, « Aswat errahin » (les voix actuelles), éditée par l’Union des écrivains algériens, axée sur l’expérience littéraire des jeunes en Algérie ;
A participé à plusieurs colloques arabes et mondiaux (en Algérie, au Maroc, en Tunisie, en Egypte, en Libye, en Syrie, au Liban, en Jordanie, en Arabie Saoudite, au Koweït, aux Emirats-arabes, au Bahreïn, en Italie, en France, en Hollande, aux Etats-Unis, en Espagne, en Belgique, en Suisse, etc.), consacrés aux thèmes de l’écriture, la fonction de l’écrivain, la narration, les défis de la pensée arabe, la mondialisation et la culture, acculturation et interaction culturelle, la modernité, le moi et l’autre, etc.   
A produit et présenté pour la télévision algérienne (1999-2002), l’émission Ahl El-Kitab, consacré à la situation du livre et de la lecture en Algérie et dans le monde arabe
A produit la série télévisée « Diwan », conçue comme une anthologie télévisuelle des écrivains arabes depuis le vingtième siècle. Il a déjà réalisé une vingtaine de longs documentaires consacrés aux écrivains les plus en vue durant cette période. Le projet se poursuit et devrait passer en revue les écrivains contemporains.   
A réalisé une trilogie documentaire télévisée sur l’histoire des élites culturelles algérienne (2004-2005) ;
A présidé le jury du théâtre professionnel, Alger 2007 ; Membre la haute instance consultative du Prix Cheikh Zayed du livre.
 

Dominique Baudis :

Dominique Baudis, né le 14 avril 1947 à Paris est un journaliste, écrivain et homme politique français.
Il est actuellement Président de l'Institut du monde arabe et député européen PPE de la circonscription Sud-ouest de la France.
Il effectue ses études au collège du Caousou à Toulouse, puis à Paris, et obtient son diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris.
En 1971, il part au Liban et devient journaliste de radio et de télévision à Beyrouth jusqu'au début de la guerre civile libanaise en 1975. Il devient ensuite correspondant de TF1 (alors chaîne publique) pour le Proche-Orient. Sa carrière journalistique l'amène à devenir grand reporter pour TF1 de 1976 à 1977, puis présentateur du journal télévisé de 20h de la même chaîne de 1978 à 1980, avant de devenir celui de FR3 jusqu'en 1982. Cette même année, il est chargé par FR3 d'assurer les relations avec le Sénat.
.
En mai 2000, succédant à Alain Peyrefitte, il devient pour un an le président du comité éditorial du quotidien français Le Figaro.
Il en démissionne, comme de tous ses mandats électifs, lorsque le président de la République Jacques Chirac lui propose de devenir Président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA)..
Après avoir quitté ses fonctions de président du CSA en janvier 2007 (remplacé par Michel Boyon), il est élu président de l'Institut du monde arabe en février 20075.
Le 16 juillet 2009, il est élu vice-président de la commission des affaires étrangères du Parlement européen. Il est membre de la délégation pour les relations avec les pays du Mashrek (Égypte, Jordanie, Liban et Syrie) et de la délégation à l'Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne.
Œuvres

-
La Passion des chrétiens du Liban, Éditions France Empire, 1978.
- La Mort en keffieh, Éditions France Empire, 1980.
- Raimond le Cathare, Éditions Grasset, 1996.
- Raimond d'Orient, Éditions Grasset, 1999.
- La Conjuration, Éditions Grasset, 2001.
- Il faut tuer Chateaubriand, Éditions Grasset, 2003. Les amants de Gibraltar, Éditions Grasset, 2010- Prix Méditerranée 2010

Dominique Baudis
 

Benjamin Stora :

Benjamin Stora, né en 1950 à Constantine (Algérie), est un historien français[1], spécialiste de l'Algérie contemporaine et de l'immigration algérienne en France.
Docteur en Histoire (1978, EHESS) et Sociologie (Paris 7, 1984), puis Docteur d'Etat es Lettres (Paris 12, 1991) il enseigne l'histoire du Maghreb et de la colonisation française (Indochine-Afrique) et co-dirige l'Institut Maghreb-Europe à Paris VIII-St Denis depuis 1990. Il a également enseigné à l'INALCO et, actuellement, est en poste à l'université Paris XIII. Il a poursuivi ses recherches à Hanoi, (1996-1997), New York (1998) et à Rabat au Centre Jacques Berque (1998-2002).
Il a également été conseiller historique du film Indochine de Régis Wargnier et de Là-bas... mon pays d'Alexandre Arcady en 2000. Il a réalisé des documentaires pour France 2, "Les années algériennes", (1991), "L'indépendance aux deux visages" (France 5, 2002), et "Conversations avec les hommes de la révolution algérienne" (Chaine Histoire, 2003).Il a publié notamment
  • Messali Hadj. Pionnier du nationalisme algérien
  • Dictionnaire biographique de militants nationalistes algériens. 600 portraits.
  • Nationalistes algériens et révolutionnaires français au temps du Front Populaire.
  • Les sources du nationalisme algérien. Parcours idéologiques. Origine des acteurs.
  • Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954)La gangrène et l'oubli. La mémoire de la guerre d'Algérie.,
  • Histoire de la guerre d'Algérie
  • Ferhat Abbas. Biographie, avec Zakya Daoud
  • Appelés en guerre d'Algérie, Gallimard, 1997
  • Algérie, Formation d'une nation, suivi de Impressions dans l'est algérien.
  • La guerre invisible - Algérie années 90
  • Immigrances : L'immigration en France au XXe siècle)
  • La guerre des mémoires - La France face à son passé colonial (entretiens avec T. Leclère), Les immigrés algériens en France : une histoire politique, 1912-1962, Le mystère De Gaulle. Son choix pour l'Algérie, Robert Laffont, 2009
    Mitterrand et l’Algérie. 2010

Benjamin Stora
 
Jean Ziegler :
né le en 1934 en Suisse, est un homme politique, sociologue, écrivain. Il a un doctorat en droit et un en sociologie.
Il fut le rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation du Conseil des droits de l’homme de l’Onu de 2000 à 2008. Il est actuellement membre du comité consultatif du conseil des droits de l'homme des Nations unies.

Il fut professeur de sociologie à l'Université de Genève jusqu'en 2002 et à l'Université de la Sorbonne a Paris. Il fut conseiller municipal (socialiste) de la ville de Genève de 1963 à 1967. Il fut membre du parlement fédéral suisse Jean Ziegler est l'auteur de plusieurs livres sur la mondialisation et sur ce qu'il considère être des crimes commis au nom de la finance mondiale et du capitalisme, condamnant en particulier le rôle de la Suisse. Il critique fortement l'action du FMI qui conditionne ses aides financières à la privatisation des services publics, conduisant souvent, selon lui, à leur dégradation avec des conséquences tragiques pour la santé et l'alimentation pour les pays les plus pauvres. Il écrit en français et en allemand. Il a publie prés d'une cinquantaine d'ouvrages . comme La Faim dans le monde expliquée à mon fils, Les Nouveaux Maîtres du monde et ceux qui leur résistent,La Haine de l’Occident,livre pour lequel il reçu le  prix des droits de l'homme.
 
PATRICK POIVRE D’ARVOR :
Certes, Patrick Poivre d’Arvor est le recordman de la présentation du 20 heures pendant près de trente ans (dix mille journaux télévisés à son actif), certes il a officié sur les plus grandes chaînes de radios et de télévision, ainsi que dans de nombreux titres de la presse écrite, mais c’est avant tout un amoureux des mots et les lettres. Il a écrit une soixantaine de livres depuis « Les Enfants de l’aube », rédigé à l’âge de 17 ans, jusqu’à son dernier roman, « Fragments d’une femme perdue », en passant par « L’irrésolu », Prix Interallié 2000.Il dirige avec son frère une collection chez Points-Seuil, « Mots pour mots » et, vient de publier avec lui « Jusqu’au bout de leur rêve ». Il a mis en scène Carmen pour trente représentations de l’Opéra en plein air tout au long de l’été 2010 et travaille avec Didier Decoin sur une adaptation d’un livre de Pierre Loti, « Mon frère Yves ».
PATRICK POIVRE D’ARVOR
 
Henning Mankell :
Henning Mankell est un auteur suédois né le 3 février 1948 à Härjedalen, au centre de la Suède.. Il partage sa vie entre la Suède et le Mozambique où il a monté une troupe de théâtre, le « Teatro Avenida ».
Il est connu internationalement grâce à la série policière des enquêtes de Kurt Wallander. Ce commissaire désabusé est entouré par une équipe de policiers où chacun possède une personnalité soigneusement décrite. Les meurtres sanglants auxquels Wallander est confronté le plongent au fil des romans dans un état de plus en plus dépressif ; l'aspect psychologique est aussi important pour Mankell que l'intrigue elle-même. Toutes ces aventures se déroulent dans la petite ville d'Ystad, en Scanie, dans le sud de la Suède, même si Wallander se déplace une fois en Lettonie (Les Chiens de Riga) et enquête sur un meurtre dont les origines remontent en Afrique du Sud (La Lionne blanche); le sol du proche Danemark est souvent foulé.
Il a reçu le Prix Nils Holgersson en 1991.
En 2007, il préside le jury du Prix du Livre européen qui sera remis cette année-là à Guy Verhofstadt pour son livre Les États-Unis d'Europe.En 2010, il participe à l'expédition humanitaire internationale en faveur de Gaza, qui donna lieu à un abordage israélien qui causa une dizaine de victimes. Il tire de cette expérience un récit qui sera publié le 5 juin 2010 dans plusieurs grands journaux dont Libération (France), The Guardian (Royaume-Uni), El País (Espagne), Dagbladet (Suède), La Repubblica (Italie) ou The Toronto Star (Canada).

Henning Mankell :
 
Pascal Boniface :
Docteur d’Etat en Droit International  public. Directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), Pascal Boniface est enseignant à l'Institut d'études européennes de l'université Paris 8. Il dirige La Revue internationale et stratégique et L'Année stratégique. Eclectique, il a écrit et dirigé la publication de nombreux ouvrages traitant des relations internationales, du nucléaire, du désarmement, des rapports de force entre les puissances ou encore de la politique étrangère française ou l'impact du sport dans les relations internationales. Pascal Boniface publie de nombreux articles dans des revues internationales de géopolitique et intervient régulièrement dans les médias. Il est éditorialiste pour Challenges, L'Economiste maghrébin - Tunisie - Témoignage Chrétien, La Vanguardia - Espagne - Gulf News - Moyen-Orient - et Al Ittihad - (Emirats Arabes Unis). Pascal Boniface anime également une émission de géopolitique chaque semaine sur Radio Orient. Il est membre du Comité de soutien et de réflexion de l'Académie diplomatique africaine (ADA) et a fait partie du Conseil consultatif pour les questions de désarmement de l'ONU, de 2001 à 2005. Il a été membre du Haut conseil de la coopération internationale de 1999 à 2003. Pascal Boniface a également présidé la Commission de prospective sur l'avenir du football auprès de la Fédération française de Football. Il est aujourd'hui Secrétaire général de la Fondation du football.
Pascal Boniface
 
Abdou El Khal :
Romancier saoudien. Né en 1962 à al-Majanna. Journaliste depuis 1982. Il écrit dans de nombreuses revues arabes.
Lauréat de prix et de récompenses honorifiques dont le Booker arabe 2010 pour son roman Tarmi bi charar [elle lance des étincelles]
Bachelor de Sciences Politiques.Aperçu bibliographique :
Hiwar ‘ala bawabat al-ardh [dialogue au seuil de la terre], nadi jazan al-adabi, 1984.
La ahad [personne], markaz al-hadhara al-arabiya, le Caire, 1986.
Laysa hunaka ma yubhij [rien de réjouissant], markaz al-hadhara al-arabiya, le Caire 1988.
Hikayat al-midad [histoires d’encre], nadi Jadda al-adabi, 1994 / histoires pour enfants.
– al-Mawt yamuru min huna [la mort passe par ici], al-muasasa al-arabiya li al-dirasat wa an-nachr, Beyrouth, 1995.
– Mudun taakul al-‘uchb [villes qui broutent], dar as-sâqi, Londres, 1998.
– Man yughani fi hada al-layl [qui chante dans cette nuit], dar ar-rawi, Damam, 1999.
– al-Ayam la tukhbi ahad [les jours ne cachent personne], dar al-jamal, 2001.
– Dhalika al-ba’id [ce lointain], à paraître.
 
 
Merzak Begtache :
Né le 13 juin 1945 à Alger, l’écrivain et romancier Merzak Bagtache est licencié de la Faculté des Lettres de l’Université d’Alger, Département de traduction. Journaliste depuis le 6 décembre 1962, ancien membre du Conseil national consultatif, ancien membre du Haut Conseil de l’Education, ancien membre du Haut Conseil à l’Information, il est l’auteur de plusieurs romans : Tuyur fi edhahira (Oiseaux en plein midi), El-bazat (le Falcon), Azzouz El-kabrane, Khouya Dahmane, Dem El-Ghazal (Le sang de la gazelle, où il retrace l’assassinat de Mohamed Boudiaf), Yahduth ma la yahduth (Il se passe ce qui ne se passe pas), Raqsa fi ettalq (Danse en plein air), paru en septembre dernier aux édition Al Adab à Beyrouth.
 Il est aussi auteur de plusieurs recueils de nouvelles, dont Jarad el bahr (La langouste), El-muwmis wa el-bahr (La prostituée et la mer), Kouza, Dar ezzallij (La maison de glace). Outre plusieurs traductions de la littérature universelle, il est auteur de plusieurs scénarios de films.Merzak Bagtache est connu des lecteurs arabophones et francophones dans la presse nationale et étrangère grâce à ses nombreux articles.
Merzak Begtache
 
Rachid Boudjedra :
Rachid Boudjedra, né à Aïn Beida (Constantinois) en 1941, est un écrivain et poète algérien de langue française et de langue arabe. Il passe sa jeunesse à Aïn Beida. Il commence ses études à Constantine et les poursuit à Tunis (Tunisie).

Dés 1959, il prend le maquis. Blessé, il voyage dans les pays de l'Est, puis l'Espagne, où il est représentant du FLN.En 1962, après l’Indépendance, il rentre au pays natal. Il entreprend alors des études de philosophie à Alger et à Paris. Il obtient une licence de philosophie à La Sorbonne en 1965 et achève son cursus en présentant un mémoire sur Céline.
Rachid Boudjedra
 
Abdallah Salem Mlitan :
Il est né le 3 mars 1964 à Mesrata – Libye
Doctorat en Philosophie (philosophie et civilisation) de l’Académie des Etudes Supérieures- Tripoli, 2005.
Employé à la Direction générale des Radios de la Jamahiriya libyenne, de 1988 à octobre 2005.
Il est actuellement Enseignant à la Faculté des Lettres de l’Université d’El-Fatih
Il a également collaboré à de nombreuses revues  telles que :
Et-talibé, Al-Muwadhif, Al-Muntijun, Al Fajr Al Jadid, Al Jamahiriya, Esh-shams, Al Idha’a, Esh-shams ethaqqafi, Az-zahf al akhdar, Akhbar Al Adab (Egypte), Al Kifah Al Arabi (Liban), Al Arab (Londres), Al Funun (Koweït). 
Lauréat du prix d’encouragement pour les lettres et les arts dans le domaine de la documentation – Direction générale de la culture, 2009.
 
 
Clément Moore Henry ( USA) :
est professeur des sciences politiques à l’Université de Texas à Austin.  Né en 1937, il était étudiant à Paris en 1957 et expulsé de la France en 1958 pour son soutien, en tant que représentant des étudiants américains, de la cause algérienne.  Parmi ses livres, il vient de publier la 2ème édition avec Robert Springborg de Globalization and the Politics of Development in the Middle East (Cambridge University Press, 2010).
Dernier ouvrage : l’histoire de l’U.G.M.A  2010

Ce livre est le produit d’un de ses admirateurs, Clément Moore Henry, invité à participer à la cinquantième anniversaire de la fondation de l’UGEMA.  Il a pu retrouver ses anciens camarades et au cours des années 2005-09 enregistrer les mémoires d’un bon échantillion de responsables et militants de base, y compris plusieurs qui sont devenus ambassadeurs, hauts fonctionnaires, ministres, premiers ministres.
 
Patrice Nganang :
(Cameroun).
Le prix Marguerite Yourcenar aux États-Unis 2001
Le Grand prix de la littérature de l'Afrique noire (Ahmadou Kourouma) 2002.

Patrice Nganang, né en 1970 à Yaoundé au Cameroun, a publié un recueil de poèmes, elobi, ainsi que trois romans, La Promesse des fleurs, Temps de chien et La Joie de vivre. Temps de chien a été distingué par le prix Marguerite Yourcenar aux États-Unis en 2001 et par le Grand prix de la littérature de l'Afrique noire (Ahmadou Kourouma) en 2002.

Il a en outre publié trois contes citadins, Les Derniers Jours de service du commissaire D. Eloundou, L'Invention du beau regard, La Chanson du joggeur, publié en série dans le journal Le Messager au Cameroun, ainsi que de nombreux essais tant en allemand, en anglais qu'en français, dont les recueils Interkulturalität und Bearbeitung et Le Principe dissident. Depuis six ans, il vit et enseigne aux États-Unis.
Patrice Nganang
 
Nouri AL-JARAH :
Poète. Né en 1956 à Damas. A vécu à Beyrouth, à Chypre et aux Émirats. Réside à Londres depuis 1986 où il supervise le Centre arabe de littérature géographique (Irtiyad al-afâq) et le prix Ibn Batouta de la littérature de voyage.
A publié depuis 1990 trois livres pour enfants.
Est traduit dans plusieurs langues dont le farsi (œuvres complètes) et l’anglais (The Summer of the dragon, Interlink, Boston 2010).
A participé à la création de la revue an-Naqid aux côtés de Riyad ar-Rayes, Ansi al-Haj et Zakariya Tamer. A fondé de nombreuses revues aux Émirats et le premier prix arabe consacré à la littérature féminine.Aperçu bibliographique :

as-Sabiy [le môme], Beyrouth, 1982.
Mujarat as-sawt [accompagnement de la voix], Londres 1988.
Nachid sawt [hymne de voix], Cologne 1990.
Tufulat mawt [enfance de mort], Casablanca, 1992.
Kaas sawdaa [coupe noire], Londres 1993.
al-Qassida wa al-qassida fi al-miraât [le poème et le poème dans miroir], Beyrouth, 1995.
Hadaeq Hamlet [les jardins d’Hamlet], Beyrouth, 2003.– Tariq Dimachq [la route de Damas] suivi de al-Hadiqa al-farisiyya [jardin persan], 2004.
 
 
KHARCHI Djamel :
Kharchi Djamel est né le 13 Décembre 1950 à Hussein-Dey (Alger) où il a passé son enfance et a fait ses classes primaires. En 1969 il entame des études supérieures avec en final obtention d’une Licence en Droit puis d’un Diplôme d’études supérieures en Droit pénal.
Au début des années 70 il entamera une carrière dans l’administration publique qui se traduira par l’occupation de hautes fonctions dont celle qu’il assure actuellement à la tête d’une importante Institution d’Etat.
Djamel Kharchi est venu à la littérature par l’une de ses portes les plus emblématiques : la poésie.
La décennie 70 verra l’émergence d’une jeune génération de poètes dont il fera partie. C’est l’époque où Jean Sénac  fera publier aux Editions du Cherche Midi une « Anthologie de la jeune poésie algérienne » où figureront plusieurs des  poèmes  de D.Kharchi.
On pourra également trouver de nombreux poèmes de l’auteur dans « l’Encyclopédie de la poésie algérienne de langue française » d’Ali El Hadj Tahar (Editions Dalimen).
Il abordera le roman avec « La fureur de ressusciter » paru chez ENAG Editions. On y trouve les thèmes chers à l’auteur : préoccupations identitaires, attachement au sol, authenticité, justice sociale.
Son second roman « Le rêve en héritage » (Casbah Editions) puise de la même veine : poids des traditions et sens de leur évolution.
Ainsi au fil des années, Djamel KHARCHI élabore une œuvre qui se distingue tant par la force de son réalisme que par son esthétisme graphique.
Ses ouvrages ont été traduits en langue arabe et publiés chez Casbah Editions.
 
 
Racha OMRANE :
Née en 1964 à Tartous en Syrie. Elle est directrice du Festival Culturel « Assendiane/ Le Chêne». Festival, qui rassemble un ensemble de poètes arabes et étrangers.
Elle est la fille du célèbre poète syrien Mohamed Omrane.
Elle a publié de nombreux recueils poétiques dont :
Mon exil c’était mon corps

Elle a également écrit une anthologie de la poésie syrienne et elle collabore à divers journaux et revues de Jordanie, Liban etc.Elle est traduite en plusieurs langues : anglais, français, allemand, italien.
 
 
Zineb LAOUEDJ :
Zineb Laouedj, tout comme les poètes de sa génération, s'est forgée un nom et une expérience dans le fracas des batailles littéraires des années 1970 autour de la poésie libre.
Dans le cadre académique, elle réalisa un grand travail sur la " poésie des années 70 dans l'espace maghrébin ", thèse de Doctorat d'État qu'elle a soutenu en 1989 ; enseigna ensuite à la Faculté Centrale d'Alger et à Paris VIIIe comme Professeur de poésie arabe modernePour la poétesse " les mots sont avant tout des êtres fragiles qui vibrent au toucher des choses de la vie et aux doux bruissements des rêves. Ils n'ont pas l'assurance de la pierre, mais plus solides que le temps et les tirants
Zineb LAOUEDJ :
   
   
   
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